News Tank RH Management nous consacre cette semaine un article intitulé : « Former à la bienveillance : Un mélange de sensibilisation et d’incitations ».
Une interview sur le thème de la bienveillance
À l’occasion de la sortie de son nouveau livre Aurélien, c’est papa, je t’aime ! (lien Fnac pour se le procurer), le Docteur Philippe Rodet était interviewé par News Tank RH Management. Il revient sur la notion de bienveillance, signifiant « vouloir le bien de l’autre ». Il insiste sur l’importance de former ses managers à la bienveillance, car elle n’est pas évidente en toute situation. Il montre également à quelle point cette démarche doit s’inscrire au plus haut niveau dans l’entreprise, et nécessite du temps pour que les résultats soient visibles, deux ou trois années généralement.
En effet, il est toujours difficile de faire évoluer les comportements. À ce sujet, il préconise : « Une formation pour être efficace doit être un mélange de sensibilisation et d’incitations ». La formation à elle seule des cadres ne suffit effectivement pas souvent à faire toute la différence. Les actions d’incitation sont nécessaires : « via des mails réguliers, des recueils de témoignages, la réalisation d’un guide ou d’autres outils comme une newsletter dédiée… ». On voit que de nombreux moyens existent pour agir et améliorer la qualité de vie au travail en France.
Une prise de conscience a lieu
Il revient également sur des expériences personnelles, et constate une nette évolution des ressources humaines : « J’ai été contacté par une DRH au sujet d’une collaboratrice qui obtenait de bons résultats dans un service mais dont des personnes de son équipe étaient en dépression. Elle a jugé que c’était une alerte alors qu’auparavant si les résultats étaient bons, on ne se préoccupait pas du reste ». On voit que la situation évolue dans le bon sens, il va maintenant falloir amplifier le mouvement.
Son nouvel ouvrage : Aurélien, c’est papa, je t’aime !
Enfin, il revient sur son nouvel ouvrage, et explique pourquoi il a souhaité écrire un roman : « C’est plus facile pour moi de faire passer un message fort dans un roman. Dans un essai, j’étais limité au niveau émotionnel. Au-delà de l’écriture d’un livre, il s’agit de lancer un appel en disant que nous ne pouvons pas continuer ainsi… et que l’on peut agir autrement. La situation [du stress au travail, Ndlr] est sérieuse et nous sommes à une période où l’on peut être écouté ».
Pour acheter son premier roman, Aurélien, c’est papa, je t’aime !, cliquez ici : lien Fnac, lien Amazon.
Retrouvez l’ensemble de l’article sur News Tank RH Management (nécessite un abonnement).