« Chaque semaine, l’Usine Nouvelle et Koober proposent en exclusivité un ouvrage sélectionné par leurs soins conjoints. L’essai « Le management bienveillant » de Philippe Rodet a été choisi cette semaine ».

Quelle joie !

Ce que n’est pas le management bienveillant…

Christophe Bys commence par expliquer ce que n’est pas le management bienveillant : il ne s’agit pas d’une forme de laxisme susceptible de déboucher sur une mauvaise gestion des équipes. Comme dirait la DRH d’une enseigne d’un grand Groupe : « le management bienveillant n’est pas un management gnan-gnan ».

Christophe Bys explique ensuite quelques atouts du management bienveillant :

« – accorder la considération qu’il mérite à l’être humain est plus que bénéfique ; – sans surprise, celui-ci produit de meilleurs résultats s’il est traité avec bienveillance ; – la bienveillance, au-delà de son application au travail, est un droit réservé à chacun et un devoir ».

Christophe Bys aborde ensuite des conséquences du management bienveillant :

« Le mettre en place permet de redéfinir la responsabilité sociale d’une entreprise. En étendant la notion de performance à un ensemble d’acteurs, le management bienveillant vise à redéfinir ce qu’est une entreprise ».

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