Selon un article paru sur le site « La presse canadienne », le 22 août 2009, une étude, menée par le docteur Pierre Gagnon, psychiatre en oncologie à l’Hôtel-Dieu de Québec, montrerait que si l’on diminue le niveau de stress de patients atteints d’un cancer, on améliore leur qualité de vie. L’approche du docteur Gagnon pour diminuer le niveau de stress s’appuie sur les travaux d’un psychiatre ayant survécu aux camps de concentration nazis, le docteur Viktor Frankl. Selon le docteur Frankl, on survit dès lors que l’on peut donner un sens à sa vie et selon lui, il est possible de trouver un sens à sa vie même dans un camp de concentration.
Aujourd’hui, le docteur Gagnon essaye d’aider des patients atteints de cancer à en faire autant. Et les premiers résultats seraient encourageants : « on a déjà des indications que la détresse psychologique diminue et que la qualité de la vie augmente ».
Une vision proche de celle que nous défendons et qui vise à montrer que la motivation diminue la toxicité du stress. Trouver un sens à sa vie n’est-il pas un des leviers de la motivation ?