Stress, pollution et os, voilà une association qui ne semble pas évidente à première vue. Un article paru sur le site de Futura Santé le 8 janvier aborde différentes hypothèses susceptibles d’expliquer l’impact de la pollution aux particules fines sur l’organisme et surtout sur le tissu osseux. Mais… n’oublions pas l’impact de la pollution sur le stress !

Plusieurs hypothèses émises pour expliquer l’influence de la pollution sur le tissus osseux…

Plusieurs hypothèses sont émises pour expliquer l’impact de la pollution sur le tissu osseux : « le stress oxydatif, l’inflammation, induits par l’inhalation de particules fines, mais aussi à la diminution d’hormone parathyroïdienne (PTH), qui régule la production de calcium. La pollution pourrait également agir comme filtre aux rayons UV, amoindrissant la synthèse de vitamine D. »

Mais, ne manque-t-il pas une hypothèse ?

Il me semble qu’il manque une hypothèse en mesure d’augmenter l’oxydation et l’inflammation, c’est le stress d’origine chimique provoquée par la pollution.

Une étude montrait l’impact de la pollution sur le stress…

Souvenons-nous en effet de cet article paru sur le site « Le quotidien du Peuple », sous la plume de Yishuang Liu et de Wei SHAN, qui abordait l’influence des particules fines sur le stress. Il est prouvé que « l’exposition à des concentrations importantes de particules fines entraine une augmentation des taux de cortisol, d’adrénaline et de noradrénaline… ».

L’influence du stress sur la densité osseuse a déjà été démontré…

Or, l’influence de l’état moral sur la densité osseuse a déjà été traité dans un article de janvier 2015 suite à une étude menée par une équipe de chercheurs finlandais.

La pollution provoque un stress d’origine chimique…

La pollution aux particules fines favoriserait donc le stress, il s’agit d’une source chimique. Cela est assez logique puisque l’on sait depuis Hans Selye que les substances chimiques peuvent favoriser la libération d’hormones du stress.

L’impact de la pollution sur l’asthme, le diabète, les problèmes cardio-vasculaires devient donc très logique.