Un article paru le 2 février 2011 sur le site du journal Métro de Montréal aborde le stress vécu par les personnes homosexuelles lorsqu’elles se trouvent dans un milieu hostile. Une étude menée par le psychologue clinicien Michael Benibgui, dans le cadre de sa thèse de doctorat soutenue à l’Université Concordia de Montréal montre que les personnes homosexuelles, bisexuelles et lesbiennes qui évoluent en situation d’antipathie vivent un stress aigu responsable d’une augmentation du taux de cortisol. Chez les jeunes, cette situation va de paire avec des symptômes plus marqués de dépression, d’anxiété et d’idées suicidaires.