Une dépêche reprise par le site « Romandie News » aborde une étude, consacrée au syndrome post traumatique chez des militaires américains, menée par ces chercheurs du Centre médical de la Marine américaine à San Diego (Californie) et publiée le 14 janvier 2010 dans le « New England Journal of Medicine ». Selon cette étude,  un traitement rapide avec de la morphine permettrait de réduire de 47% le nombre de militaires souffrant ultérieurement de ce syndrome.