L’être humain, d’une manière générale, retient mieux ce qui est négatif que ce qui est positif. C’est une caractéristique que l‘on a tous vérifié. On oublie vite une bonne nouvelle alors que l’on se souvient longtemps d‘une mauvaise nouvelle. De même, on a plus naturellement tendance à être pessimiste qu’optimiste, c’est ce qui faisait dire à Alain « le pessimisme est d’humeur, l’optimisme de volonté ».

Dans les périodes de crise, ce phénomène est encore amplifié et favorise le stress. En effet, si comme le formulent à merveille Pierre et Henri Lôo, « la personnalité optimiste protège du stress », le pessimisme, lui, aggrave le stress.

Dans les périodes de crise, il serait donc bon d’inciter les uns et les autres à d’avantage prendre consciences des menus plaisirs de la vie en les inondant de bonnes nouvelles. Il s’agirait d’une véritable « rééducation » du cerveau destinée à l’aider à retrouver un juste jugement entre les soucis et les satisfactions.

Dans cet esprit, avec une Académicienne et un chef d’entreprise, nous avons fait émerger « le blog des bonnes nouvelles », un blog où les auteurs essayent de montrer la quantité et la force des plaisirs cachés.

Nous vous invitons à visiter ce blog et à en devenir …auteur.

Merci.