Selon un article paru sur le site de « La Presse Canadienne », le 8 mars 2008, deux chercheurs auraient prouvé que « l’intimidation au travail serait plus dommageable que l’harcèlement sexuel ». Sandy Hershcovis, de l’Université du Manitoba, et Julian Barling, de l’Université Queens à Kingston, en Ontario, ont montré que, si le harcèlement sexuel et l’intimidation altèrent, l’un comme l’autre, l’environnement de travail et peuvent causer des torts aux salariés, ce sont les intimidations qui ont les conséquences les plus graves.

On mesure à travers cette étude présentée à Washington, ce samedi, à l’occasion de la septième « International Conference on Work, Stress and Health » l’influence de la qualité des relations de travail sur le bien-être.

On se souvient, en miroir de cette étude, de celle réalisée également au Canada et qui montrait l’influence des encouragements sur le bien-être au travail.