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Selon une enquête menée auprès de 1800 étudiants de première année (garçons et filles) dans trois pays européens (Allemagne, Pologne et Bulgarie), parue dans « Nutrition journal » du 15 juillet 2009, le stress et l’état dépressif influeraient sur l’alimentation des étudiantes.

C’est ce que démontrent Rafael T Mikolajczyk (Department of Public Health Medicine, School of Public Health, Université de Bielefeld, Allemagne), Walid El Ansari (Université de Gloucestershire, Faculté de Sport, Santé & Social Care, Oxstalls Campus, Oxstalls Lane, Gloucester GL2 9HW, Royaume-Uni) et Annette E Maxwell (École de santé publique et Jonsson Comprehensive Cancer Center, University of California, Los Angeles, USA).

En effet, l’alimentation des étudiants ne varierait pas en fonction de leur niveau de stress ou de leur état moral. En revanche les étudiantes stressées consommeraient plus de sucres rapides et moins de fruits et de légumes. Quant aux étudiantes victimes de dépression, elles consommeraient moins souvent des fruits et des légumes et de la viande.