Les femmes seraient plus sensibles aux mauvaises nouvelles
D'après les chercheuses Sonia Lupien et Marie-France Marin de l'Hôpital Louis-H. Lafontaine (Canada), les femmes qui lisent des actualités négatives produisent plus d'hormones de stress lorsqu'elles se retrouvent "sous pression" par la suite. Elle mémorise aussi davantage que les hommes ces informations négatives. En effet, l'étude portait sur 60 participants (30 femmes et 30 hommes) [...]