Un article paru sur le site réunionnais « LINFO » le 22 novembre 2014 aborde les conséquences morales négatives chez les femmes des postes à responsabilité.  Il s’appuie sur une étude menée à l’université du Texas, financée par l’Institut national de la Santé et publiée dans le « Journal of Health and Social Behavior », étude qui montre que les femmes qui occupent des postes importants sont plus sujettes à des niveaux importants de stress et sont plus exposées à la dépression que leurs homologues masculins. Pour Tetyana Pudrovska, chercheur ayant participé à l’étude, cela viendrait du fait que les « femmes occupant de hautes responsabilités sont mal jugées dès lors qu’il faut faire preuve d’autorité« .

Une étude qu’il semble intéressant de rapprocher d’une autre étude abordée par le blog stress info en août 2014 et qui expliquait que les femmes sont plus sensibles au stress que les hommes en raison d’une plus faible confiance en soi…