Les Français très pessimistes : un facteur de stress. Un article publié sur le site du journal « Le Figaro » le 4 janvier 2014 explique que selon un récent sondage réalisé par l’Ifop pour « Dimanche Ouest France« , 30% des personnes interrogées se disent « optimistes » pour l’avenir, soit un recul de 14 points par rapport à l’étude de août 2013.

Les difficultés économiques que connaît notre pays et leurs répercussions sur l’emploi y sont certainement pour quelque chose.

En effet, l’attachement des Français à leur travail – comme le faisait remarquer Antoine Char, un journaliste canadien, dans le journal Métro de Montréal en octobre 2009 – est majeur : « Au pays des 5 semaines de congés payés et des 35 heures de travail par semaine, les Français ont malgré tout un rapport passionnel au travail. Ce n’est pas seulement un gagne-pain, comme dans bon nombre de pays anglo-saxons. C’est un mode de vie ».

Quoi qu’il en soit, cette baisse de l’optimisme est une mauvaise nouvelle ! Et elle ne va pas contribuer à améliorer les effets du stress dont on sait qu’ils sont potentialisés par le pessimisme.

Mais alors, que faire ?

Que chacun de nous fasse un effort d’optimisme en se souvenant des propos d’Alain, « le pessimisme est d’humeur, l’optimisme de volonté« .

Que chacun de nous pense aux générations à venir . Jacqueline de Romilly expliquait que « nous avons un devoir d’optimisme vis à vis des générations à venir« .

Que chacun de nous agisse sur les clés de l’optimisme à savoir notamment sur les retours positifs. Que ce soit au niveau professionnel ou personnel, il faut que nous soyons plus enclin à voir ce qui va bien, à féliciter, à encourager.

Ainsi, nous renouerons avec l’optimisme, non pas un optimisme de bienheureux mais un optimisme qui nous pousse à agir, qui nous pousse à oser essayer, un optimisme compagnon de l’audace, de l’enthousiasme et du succès.