Selon une dépêche reprise par le site du « Nouvel Observateur », le 10 novembre 2007, de nouveaux moyens d’investigation du cerveau permettraient de visualiser les zones atteintes en cas de stress post traumatiques ou de blessures cérébrales causées notamment par l’onde de choc d’une explosion.

Le Dr Jasmeet Pannu Hayes, de l’Université de Boston, qui participe à ces recherches est très claire : « Il y a quelque chose de différent dans le cerveau ».

Le Dr James Kelly, neurologue de l’Université du Colorado, explique que la similitude entre certains symptômes (troubles de la mémoire, de l’attention, angoisse, irritabilité, dépression et insomnie) du stress post traumatique et des blessures cérébrales sus citées, tendrait à prouver que les zones lésées dans les deux cas sont identiques.

Des recherches susceptibles de déboucher sur de nouvelles voies thérapeutiques et  justifiées par le nombre de personnes concernées : 20% des anciens combattants ayant servi en Irak ou en Afghanistan présenteraient des symptômes de stress post traumatique. Vingt autres pourcents souffriraient de blessures traumatiques cérébrales.