fotolia_1808550_xs

 Selon une étude, menée par des chercheurs du Centre de recherche cardiovasculaire de Paris, publiée dans la revue « European Heart Journal » une élévation trop importante de la fréquence cardiaque lors d’un stress va jusqu’à doubler le risque d’arrêt cardiaque ultérieur.

Dans le cas de l’étude le stress correspond à l’appréhension de l’épreuve d’effort.

Chez les hommes présentant suite à ce stress là une augmentation très faible de la fréquence cardiaque, il n’y a pas eu de mort subite par arrêt cardiaque.