Selon un article paru sur le site « Softpedia », une étude menée par l’équipe du professeur John M. Violanti, professeur associé de recherche au Département de médecine sociale et préventive à l’École de santé publique de l’Université de Buffalo (NY), les policiers américains sont victimes d’un niveau de stress trop important, ce qui entraîne chez eux un grand nombre de pathologies telles que l’insomnie, l’hypertension artérielle, les insuffisances coronariennes à un âge précoce et même le suicide.