Un article publié sur le portail canadien « Canoë-Infos » le 7 mai 2008 traite d’une étude réalisée par l’équipe du professeur Moshe Szyf, de l’Université Mac Gill. Cette étude analyse la possibilité d’identifier les gens aux tendances suicidaires grâce à leurs gènes.

Il semblerait en effet que chez des patients qui se seraient suicidés, des anomalies de l’enveloppe chimique de l’ADN aient été retrouvées de manière constante.

« Les chercheurs croient aussi que les mauvais traitements infligés pendant l’enfance peuvent avoir un impact important sur la manière dont certains gènes s’expriment dans la région du cerveau responsable de l’humeur et du stress ».

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