Un article paru sur le site du journal « Métro », le 26 février, illustre les conséquences au niveau cardiovasculaire d’un état de stress important. Selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Cambridge, une crise bancaire internationale entraînerait une hausse de 6,4% du nombre de crises cardiaques dans les pays occidentaux dont la France.
D’après David Stuckler, qui a dirigé l’étude, « le stress causé aux épargnants est comparable à celui causé par les tremblements de terre, les guerres, voire les attentats« .