
Soit il s’agit d’un stress majeur qui, notamment en raison des perturbations hormonales qu’il induit, va fatiguer l’enfant et diminuer ainsi son envie de travailler.
Soit il s’agit d’un stress moindre qui, en s’associant à un trouble de l’apprentissage léger, va conduire à l’échec.
Il est donc essentiel de veiller à ne pas induire des sources de stress inutiles à nos jeunes et surtout à ne pas leur transférer nos propres craintes quant à leur propre réussite.




