Sur le site canadien « Info 690 » , un article du 14 août 2008 est consacré à une étude de l’Institut Universitaire en Santé Mentale Douglas sur l’impact, sur les enfants, du stress des mères enceintes durant la tempête de verglas de 1998.

Il s’avère que les enfants nés de mères ayant vécu un niveau de stress important présentent « de moins bonnes aptitudes langagières » et « une note de Q. I. de 10 points moins élevée ».

L’influence de son propre stress sur son QI était admise, l’influence du stress de la femme enceinte sur l’immunité de l’enfant l’était aussi et maintenant, c’est l’influence du stress de la mère sur le QI de l’enfant qui l’est.