Selon une étude parue dans le journal « Infant Behaviour and Development » en décembre 2010, des chercheurs de l’Université du Michigan ont montré que les enfants nés de mamans dépressives ont un taux plus élevé d’hormone corticotrope (ACTH), précurseur du cortisol (hormone du stress) ainsi que des différences sur le plan comportemental.

Parmi ces différences, on note une diminution du tonus musculaire ou une adaptation plus rapide à des stimuli sonore (cloche) ou visuel (lumière)…

Les chercheurs conseillent aux femmes qui présentent des signes de dépression durant la grossesse d’être suivies par un thérapeute.

Un suivi après al grossesse portant sur le lien mère-enfant pourrait aussi avoir des effets très bénéfiques.