Une étude, menée par Ryan E Adams, Jonathan Bruce Santo et William M. Bukowski et publiée dans la revue Developmental Psychology en novembre 2011, aborde l’importance du meilleur ami chez des enfants âgés de 10 à 11 ans en cas d’épisodes difficiles.
Lorsque ces enfants subissaient des expériences négatives (Dispute avec un ami, reproche d’un professeur…), si le meilleur ami n’était pas là, l’estime de soi baissait de manière significative et le taux de cortisol montait, lui aussi de manière significative.
Dans le même contexte, si le meilleur ami était présent, le taux de cortisol s’élevait moins et l’estime de soi était moins altérée.