Sur le site « Romandie News », une dépêche publiée le 24 novembre 2009 traite d’une étude, menée par des chercheurs de l’Unité de recherche sur le stress de l’Université de Stockholm et publiée par le « Journal d’Epidémiologie et de Santé Publique », qui met en évidence la toxicité cardiaque liée à la répression des émotions liées au travail.

Ainsi, les hommes qui fuient les conflits ont un risque trois fois supérieur de subir une attaque cardiaque ; ceux qui évitent les conflits ont un risque deux fois supérieur ; ceux qui réagissent en prenant à partie la personne à l’origine du problème ou qui se mettent en colère n’ont pas de risque de crise cardiaque supérieur à la moyenne.