Un article, paru dans la rubrique « Santé » du site du « Nouvel Observateur » le 9 décembre aborde l’impact d’un triptyque (pratique de l’exercice physique, nutrition adaptée et gestion du stress) sur l’amélioration de la longévité des femmes atteintes d’un cancer du sein.

Barbara Andersen et son équipe de l’Université de l’Ohio ont mené une étude qui a mis en évidence l’intérêt d’associer à un traitement médical et à un suivi psychologique, le triptyque sus cité.

Les résultat est en effet très clair : « 11 ans après la fin de l’expérience, les femmes qui avaient suivi ce programme intensif ont eu un risque de mortalité diminué de 56%. Si on exclut les femmes qui ne sont pas allées au bout du programme, le risque diminue de 68%. Enfin, ces femmes ont eu une espérance de vie augmentée d’environ 5 ans ».