Un article paru dans « Ouest-France », jeudi 31 janvier, interpelle sur le suicide chez les gardes forestiers. « Les syndicats s’alarment : sept suicides, dont deux l’an dernier, chez les gardes forestiers, en France. Malaise à l’Office national des forêts » titre le quotidien.
Selon Marc Pasqualini, secrétaire de l’Intersyndicale Snuisep de Bretagne-Pays de la Loire, « les problèmes de mépris, d’injustice, de perte de sens dans l’exercice de nos métiers, reviennent sans cesse ».
« Mépris » et « perte de sens », deux expressions que l’on retrouve souvent et qu’il semble possible de corriger par des relations humaines profondément respectueuses de l’Homme, à l’image de celles qui existent d’ores et déjà dans certaines entreprises.
Il y a un énorme travail de promotion à faire, histoire de prouver que des comportements responsables sont humainement et économiquement rentables.

Ouest-France