Un article publié le 21 janvier 2015 dans le site « Le Figaro.fr » par Nicolas Basse, aborde les effets positifs des câlins, qu’ils soient donnés par son conjoint, la famille ou les amis. D’ailleurs une journée lui a été consacrée : le 21 janvier.
Nous avions déjà évoqué ses vertus dans un article du 14 novembre 2012, entre autre les effets bénéfiques sur la tension artérielle et la fréquence cardiaque, également sur la sécrétion d’hormones notamment l’ocytocine et la dopamine.
Gérard Leleu, médecin psychothérapeute et sexologue ajoute également qu’il remplit un « vide émotionnel » chez les personnes solitaires, face au monde virtuel de plus en plus développé.
Selon une étude Américaine, il joue sur les défenses immunitaires notamment en période hivernale face aux virus, en renforçant nos anticorps du fait du contact physique avec une autre personne.
Des études faites sur les bébés singes ont montré l’importance des câlins chez les tout petits, plus que la nourriture. Chez les humains, les câlins chez les enfants génèrent un développement plus équilibré au niveau émotionnel. A l’inverse l’absence de câlins peut entrainer des enfants hyperactifs, des troubles de l’attention et des difficultés à gérer leur stress à l’âge adulte.

Article rédigé par Lydia Wieczorek