Dans le journal « Centre « Presse » du 10 septembre 2016, un article est intitulé : « Comment reconnaître un bon chef? » cite Philippe Rodet : « Philippe Rodet, médecin urgentiste et fondateur du cabinet « Bien-Être et entreprise », défend une « bienveillance active. Elle crée un taux d’engagement plus fort des équipes, un sentiment de justice et, surtout, de l’envie. Un management dur est certes rentable au début: les collaborateurs ont peur du chef et produisent plus. Mais, à long terme, ça ne fonctionne pas: ils seront de moins en moins créatifs et finiront par tomber malades ».
Attention, rétorque Philippe Rodet, « on peut être bienveillant et exigeant, dire ce qui doit être dit, mais le faire correctement. Combien de temps cela prend-il de dire bonjour ou merci à chacun, ou de prendre des nouvelles d’une personne absente? » «