Un article paru sur le site du journal « Le Figaro » le 12 octobre 2015 intitulé « Vélo des villes : bon pour la santé et l’environnement », aborde les bénéfices d’une activité physique, en particulier le vélo, malgré les risques de pollution en ville.

Diminuer les particules toxiques  devient alors indispensable. Une étude menée dans le cadre du programme européen de recherche TAPAS (Transportation, Air pollution and Physical Activities) montre qu’ « une activité physique modérée a des effets bénéfiques, voire protège de certains effets indésirables aigus de la pollution de l’air, même en cas d’exposition à des niveaux élevés ».

Les chercheurs préconisent cependant  la création de parcours évitant les endroits pollués. Ils ont examiné une expérimentation dans la ville de Barcelone en 2007. Celle-ci avait mis à disposition des vélos en libre-service, et les résultats ont été concluants : « La diminution des émissions de CO2 dans l’agglomération espagnole a ainsi été estimée à 9000 tonnes par an et l’augmentation de l’activité physique des individus aurait permis d’épargner 12 vies par an ».

En France, de nouvelles mesures vont ainsi voir le jour dès janvier 2016. Des réductions fiscales vont  être accordées aux entreprises qui développeront ce moyen de déplacement.

Article rédigé par Lydia Wieczorek